Louise Labé reprend le thème de la mort d’amour de manière originale dans le sonnet XIII : “Si de mes bras le tenant acollé, / (…) La mort venoit, de mon aise envieuse : / Lors que souef plus il me baiseroit, / Et mon esprit sur ses levres fuiroit, / Bien je mourrois, plus que vivante, heureuse.” En mettant le bonheur par-delà la vie, Louise Labé propose une nouvelle définition, amoureuse, de l’existence. Il y a là une aspiration qui peut évoquer pour nous les grandes héroïnes (Juliette, Mme Bovary) : mais cet absolu est-il spécifiquement féminin ?
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Méta
Non, ce n’est pas féminin… Tous les poètes romantiques étaient amoureux d’une morte et rêvait de la rejoindre. Le suicide de Werther etc.