“Au temps où tu portais tes enfants dans ton ventre, tu ressentais une grande douleur lors de l’enfantement. Je veux maintenant que naissent de toi de nouveaux volumes, qui dans les temps à venir et perpétuellement présenteront ta mémoire dans le monde, devant les princes et en tous les endroits de l’univers ; tu les enfanteras de ta mémoire dans la joie et le plaisir, malgré le travail et la douleur ; et de même que la femme qui a enfanté oublie son mal dès qu’elle a entendu le cri de son enfant, tu oublieras la souffrance du travail en entendant la voix de tes volumes.” (La vision de Christine, 3e partie).
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Méta
C’est assez classique de comparer la création littéraire à la parentalité.
Avoir des enfants, créer, c’est d’abord la volonté de laisser une trace c’est sûr….
Comment s’étonner que les femmes écrivent alors? ne sont-elles pas celles qui portent les enfants et leur permettent ensuite de grandir?